par @libellule, Princesse RH
(on appuie sur la touche « n » pour bien passer à la slide d'après)
Les taux sont ceux de 2016, ils ne seront plus bons à la fin de l'année, ainsi que les tranches de salaire et le SMIC.
Je n'ai pas mis toutes mes notes, je garde un peu de mystère (et aussi, j'aime bien expliquer en personne). Mais je veux bien venir vous voir si vous le souhaitez !
Salaire de base
± éléments variables
=
Selon le montant du salaire brut, on va payer plus ou moins de cotisations sociales : donc on découpe le salaire brut en tranches
Elles servent ensuite à calculer le montant des cotisations sociales salariales et patronales.
Le « Super-brut » est le brut enrichi des cotisations sociales patronales. Il représente la « valeur » du salarié dans l’entreprise (ce que coûte concrètement le salarié à l’entreprise).
0,75 % du salaire brut qui financent :
Elle sert à financer le régime de retraite de base.
Elle peut être :
2,40 % des tranches A et B qui servent à financer l’allocation journalière de l’ARE.
Un droit pour lequel tout travailleur cotise.
5,10 % × 98,25 % du salaire brut
+ part patronale des cotisations de prévoyance (hors garantie maintien de salaire)
+ part patronale des cotisations de mutuelle
+ divers (indemnités rupture conventionnelle, indemnités journalières de la sécu, de chômage, revenus du patrimoire, des produits de placements, etc)
« Déductible » car déductible du « revenu net imposable »
Rémunération annuelle brute × coefficient de réduction
sauf que…
Coefficient de réduction = (0,2842/06) × [1,6 × (SMIC annuel / rémunération annuelle brute) -1]
Élémentaire, mon cher Watson the fuck !
Idem que pour les cotisations salariales.
Salaire brut
− cotisations sociales salariales
+ part patronale de la mutuelle
=
C'est le salaire que vous déclarez dans vos impôts sur le revenu.
Salaire net imposable
− CSG et CRDS non déductible
− part patronale de la mutuelle
− variables du net
=
Heureusement, bientôt, on aura la simplicifation du bulletin de paie.
Vous avez été supercalifragilisticexpidélilicieux, c'était cool !